Deux nourrissons ont trouvé la mort la semaine dernière dans une clinique privée à Rouiba, après avoir été vaccinés au Pentavalent. Une instruction de la Direction générale de la prévention et de la promotion de la santé DGPPS) a interdit l’usage de ce vaccin. Une équipe d’experts du ministère de la Santé a, quant à elle, affirmé qu’il est hors de cause.
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Le professeur Smail Mesbah, directeur générale de la prévention au ministère de la Santé, a déclaré au Temps d'Algérie que «seuls les résultats de l'enquête judiciaire détermineront les causes définitives du décès des nourrissons».
«Le vaccin Pentavalent combiné qui prévient 5 maladies sera maintenu mais avec le changement du fournisseur. D'autre part, le nouveau carnet de vaccination sera aussi maintenu», a indique Mesbah, tout en rassurant que «le vaccin Pentavalent est efficace et garanti, selon le résultat final du comité d'experts qui a bien analysé toutes les conditions de la vaccination, et en prenant en considération les résultats du comité international de la sécurité vaccinale afin de comparer et de répondre à tous les doutes». Le directeur de la prévention du ministère de la Santé a avoué que la tutelle a fait tout le nécessaire dans cette affaire du vaccin Pentavalent. «Vous savez bien que juste après la mort des nourrissons, et par précaution, en juillet dernier, le ministère de la Santé avait retiré complètement les quotas du vaccin de toutes les instances de santé.» Tout en ajoutant qu'«après la constatation de la peur des parents, suite au décès des nourrissons après leur vaccination, le ministère a chargé le comité d'experts pour commencer son enquête sur le vaccin en question», a-il-ajouté.
En savoir plus sur http://www.lemonde.fr/sante/article/2012/09/13/publication-d-un-guide-des-4-000-medicaments-utiles-inutiles-ou-dangereux_1759378_1651302.html#YpCiwAMYgUHiUDk7.99
Le groupe Sanofi a versé 225 millions pour raccourcir de quatre mois le délai de mise sur le marché d’un médicament que le laboratoire français avait mis 10 années à développer.
Sanofi a utilisé son "droit spécial" grâce à une procédure américaine. Créées en 2009, ces autorisations permettent de raccourcir de dix mois à six mois les délais d’homologation des médicaments. Le groupe lyonnais a donc payé 225 millions à la société de biotechnologie Retrophin pour en bénéficier, selon Le Figaro.
Le groupe pharmaceutique, dirigé depuis avril par Olivier Brandicourt, peut espérer commercialiser son traitement sur le diabète, le Lixilan, début 2016 aux Etats-Unis soit quelques mois avant la mise sur le marché d’un concurrent, le Xultophy, développé par Novo Nordisk.
Entrevue avec Dr Tullio Simoncini
http://www.lagrandeepoque.com/content/view/1571/42/
Emma Holister (E. H.) : Après avoir lu vos articles concernant votre thérapie révolutionnaire contre le cancer, je n’ose pas imaginer combien il vous a été difficile de continuer à exercer votre profession en tant qu’oncologiste dans le monde de la médecine officielle. Quel a été la réponse des autorités médicales à votre travail?
Dr Simoncini (Dr S.) : Quand un scientifique a une idée efficace et révolutionnaire, les autorités médicales essaient par tous les moyens de supprimer son travail parce qu'elles sentent que leurs intérêts sont menacés. Aussi efficace que puisse être la thérapie en question, leur but sera de la détruire. On le renverra des associations médicales, on le traitera de charlatan dans les journaux et à la télé, on l’attaquera en justice et même la police le harcèlera jusque chez lui.
BD par Emma Holister
http://www.alliance-natural-health.org/_docs/ANHwebsiteDoc_275.pdf
16 mars 2007, Dorking, Royaume Uni
Nouvelles en bref
L'Alliance for Natural Health (l'ANH) a aujourd'hui informé la Commission Européenne qu'elle allait analyser de très près ses procédures et celles des autorités européennes chargées de la sécurité alimentaire (European Food Safety Authority) en ce qui concerne les compléments alimentaires, et ceci en accord avec le jugement de la Cour Européenne de Justice (CEJ).
http://www.lagrandeepoque.com/content/view/886/42/
08-12-2006
Depuis quelques jours, les médias multiplient à l’envi les spots publicitaires pour inciter les gens, particulièrement les plus âgés, à se faire vacciner contre la grippe.
On peut aisément imaginer ce que dépense l’industrie pharmaceutique pour ce matraquage publicitaire.
Quant aux caisses d’Assurance maladie, malgré les promesses du ministère de la Santé de réduire ses dépenses, elles harcèlent sans relâche les citoyens.
10 000 signes
Il y a quelques mois, nous avons appris que le «nouveau vaccin contre le cancer du col de l'utérus était enfin en vente». Il s’agissait déjà là d’un mensonge car il n’existe aucun vaccin contre les cancers, mais cette annonce très racoleuse venait des laboratoires dont le but inavoué est le racolage des profits plutôt que la santé des citoyens.
En vérité, il s’agit d’un vaccin contre le «papilloma virus» car les cancers du col sont parfois dus au HPV (Human Papilloma Virus), ce qui n'est pas la même chose. Le vaccin Gardasil®, fabriqué par manipulation génétique, a été mis au point par le laboratoire Merck, mais il est commercialisé en France par Sanofi Pasteur MSD.
http://www4.dr-rath-foundation.org/THE_FOUNDATION/Events/codex-whatisit.html
Octobre 2006 – Le Codex n’est pas un sujet facile à assimiler. Avec plus de vingt réunions annuelles et des rapports couvrant plus de 1.400 pages publiés pendant la seule année 2005, la plupart des gens se déclarerait soulagée de ne pas connaître les conséquences de ses activités sur leur santé. Mais cet article vous permet de découvrir la réalité globale du support apporté par la Commission du Codex Alimentarius au "commerce avec la maladie".
Qu’est ce que le Codex ?
L’Organisation Mondiale de la Santé utilise les directives et les normes du Codex comme référence pour arbitrer des litiges internationaux sur le marché des denrées alimentaires. Son siège (ci-dessus) est basé à Genève en Suisse.
2 000 signes
Le 19 juillet dernier, nous apprenions le refus de la Commission paritaire des publications et agences de presse (CPPAP) de permettre à notre confrère Nexus de continuer à bénéficier du taux de TVA à 2,10 %, comme c’est le cas de l’ensemble de la presse d’information.
Ce n’est certes pas le premier magazine à être sanctionné de la sorte, puisque Votre Santé, ainsi que d’autres publications qui ne sont pas les serviles valets des laboratoires, ont connu les mêmes attaques.
http://www4.dr-rath-foundation.org/open_letters/open_letter_2004_06_30.htm
L’administrateur américain Paul Bremer a brutalement quitté l’Iraq le 28 juin 2004 dans la plus grande discrétion. Depuis, George W. Bush et son administration tentent de vendre la conquête de l’Iraq aux nations du monde entier comme leur contribution à la sécurité de la planète. Pourtant, tout le monde sait que la vérité est tout autre.
Six milliards de personnes dans le monde entier ont maintenant compris une réalité effrayante : comme garant de la paix et de la sécurité les Nations Unies n’existent plus. Pour la deuxième fois dans l’histoire de l’humanité, une organisation spécifiquement créée pour maintenir la paix et la sécurité internationales a été détruite. Après l’effondrement de la Société des Nations à la fin des années trente, les Nations Unies se sont politiquement suicidées en juin 2004.
En mars 2003, George W. Bush déclenche la guerre en Iraq contre la décision de l’ONU et viole les lois internationales. Le 8 juin 2004, par sa décision autorisant une occupation militaire dirigée par les États-Unis, le Conseil de Sécurité de l’ONU approuve rétrospectivement la guerre américaine en Iraq. Par cette seule décision, le Conseil de Sécurité de l’ONU a détruit la charte des Nations Unies, son propre cadre législatif international, qui est ou plutôt était la base même de son existence.
Aux yeux de l’histoire, George W. Bush sera le politicien qui aura le plus contribué à détruire les Nations Unies. Il ne s’agit pas là d’un accident. Il a exécuté un plan progressivement formulé par plusieurs stratégies antérieures, dont le « Project for a New American Century » mis au point par Wolfowitz, Cheney, Rumsfeld et d’autres responsables de l’administration américaine. En juin 2004, leur mission était accomplie.
De son livre 'La nouvelle dictature médico-scientifique'.
« N’oubliez jamais que tout ce qu’a fait Hitler en Allemagne était légal »
Martin Luther King Jr.
Il est notoire que nombre de malades servent de cobayes dans le cadre de la recherche et que le corps médical a tendance à les considérer comme du «matériel humain». Nous savons également que de nombreuses expériences sont conduites dans des pays du Tiers-monde sur des enfants appartenant à des ethnies pauvres. À présent, ces comportements sont devenus tellement courants que personne ne s’émeut plus, d’autant qu’on nous répète que ces essais sont nécessaires à «l’avancée de la médecine et au sauvetage de milliers de malades». Il faut sacrifier certains pour le bien-être de la majorité. Par là, nous nous apparentons aux civilisations primitives, dites «sauvages», qui immolaient autrefois quelques enfants à leurs dieux. La science ayant remplacé la religion, il est normal que ces habitudes perdurent, sous d’autres noms évidemment, et de manière beaucoup plus raffinée.
De son livre 'La nouvelle dictature médico-scientifique'.
« Le monde scientifique auquel j’appartiens est largement aussi corrompu que le monde politique.»
Haroun TAZIEFF
9 décembre 1994 sur France-Culture.
Je n’ai pas l’intension d’établir ici l’historique du sida comme je l’ai fait dans un précédent ouvrage, mais il est bon de rappeler certains faits, toujours occultés par ceux qui ont la parole, et de résumer la situation actuelle face à une maladie qui terrifie bien des citoyens.
Le terme sida signifie Syndrome d’immuno-déficience acquise. Les publications médicales abondent en références des causes des immuno-déficiences acquises. On peut ainsi citer les drogues, les stupéfiants de toutes natures, les sédatifs, les tranquillisants, l’alcool, les médicaments immunodépresseurs, les antiviraux, les antibiotiques, la chimiothérapie. Il est certain que de nombreux médicaments contribuent à l’effondrement immunitaire, et particulièrement le nitrite d’amyle utilisé pour les maladies du cœur, mais aussi comme drogue aphrodisiaque par certains homosexuels. En outre, plusieurs universités américaines étudient les incidences de la peur sur le système immunitaire des séropositifs.
Le sida regroupe un grand nombre de maladies différentes (29 d’après le CDC) : Sarcome de Kaposi, hépatite B, toxoplasmose, bronchite, pneumonie, herpès génital, tuberculose, leucémie, encéphalite, diarrhées, et autres maladies et infections. Mais il ne faut jamais perdre de vue que de très nombreux individus positifs au test VIH ne sont pas malades.
Certains scientifiques, et non des moindres, ont rejeté la théorie de l’hypothèse VIH-sida. Parmi ceux-ci on peut citer le Dr Peter H. Duesberg, professeur de biologie moléculaire à l’université de Berkeley, membre élu de la prestigieuse Académie nationale des sciences et autorité internationale en matière de rétrovirus, dont il a été le premier à dresser le plan de la structure génétique.
Dans son rapport de février 1989 à l’Académie nationale des sciences, le Dr Peter Duesberg avançait que les transfusions sanguines répétées, la consommation de drogues, et de nombreuses affections parasitaires aiguës associées à la malnutrition chronique sur une durée moyenne de huit ans étaient des facteurs plus plausibles pour le sida qu’un rétrovirus inactif. En 1994, ces propos lui ont coûté sa subvention annuelle de trois cent cinquante mille dollars, et le prix Nobel pour lequel il avait été recommandé. Ainsi que nous l’avons déjà constaté, l’Inquisition est toujours de rigueur pour ceux qui osent penser autrement.
http://www4.dr-rath-foundation.org/pdf-files/interview_aon.pdf
"Mais l'autodestruction du système juridique international de l'ONU ne constitue que la dernière étape de la mort des Nations Unies. De grandes sociétés implantées dans le monde entier, (l'industrie pharmaceutique et ses parties prenantes politiques, notamment les gouvernements des Etats-Unis et du Royaume-Uni) ont depuis longtemps commencé à utiliser les Nations Unies comme une arme politique au service de leurs intérêts. Depuis des dizaines d'années, les organisations affiliées aux Nations Unies, l'Organisation Mondiale de la Santé et l'Organisation Mondiale du Commerce par exemple, ont été utilisées à mauvais escient comme instruments du "colonialisme des sociétés".L'influence des groupes d'investissement pharmaceutique a fait des ravages. En utilisant l'Organisation Mondiale du Commerce, ces groupes d'intérêts ont forcé l'acceptation du principe immoral des brevets, même dans les pays les plus pauvres du monde. Dans le même temps, en utilisant l'Organisation Mondiale de la Santé, ces mêmes groupes pharmaceutiques ont essayé de rendre illégales les solutions alternatives s'appuyant sur les produits naturels couverts par la commission Codex Alimentarius des Nations Unies. Des centaines de millions de personnes sont mortes parce que les Nations Unies ont trahi le devoir qu'elles avaient auprès de la population mondiale. . .
. . .Si les pays pauvres du monde en voie de développement et les pays en voie de développement sont livrés à eux-mêmes et comptent davantage sur les Nations Unies pour représenter leurs intérêts, les chances pour le monde en développement de se libérer du joug du colonialisme d'entreprises sont nulles. Cela signifie que, chaque année, des centaines de millions de personnes continueront à mourir de maladies qui pourraient avoir disparu depuis longtemps si les Nations Unies avaient servi la population mondiale au lieu de servir les intérêts économiques internationaux.
Par exemple, le conseiller économique de Kofi Annan, ex-secrétaire général des Nations Unies, est l'économiste Jeffrey Sachs, l'un des avocats les plus connus de la mondialisation des sociétés. Sachs avait participé au sommet de l'Union Africaine et fait le tour des pays en voie de développement en compagnie d'Annan, recommandant une augmentation de l'aide financière fournie par les gouvernements des pays riches. Cependant, il avait posé comme condition que cet argent revienne à des sociétés privées de ces pays riches, grâce, par exemple, à l'acquisition de produits pharmaceutiques brevetés représentant des milliards de dollars. En d'autres termes, l'équipe Sachs/Annan avait oeuvré pour la mise en place d'un programme de transfert de subventions de plusieurs milliards des contribuables aux coffres privés du cartel de l'industrie pharmaceutique. Et en même temps, cet argent et les médicaments distribués provoquent encore plus de maladies et créent encore plus de marchés."
Le 9 mai 2006, le journal Le Parisien titrait : Suicides : « La nouvelle affaire du Distilbène ® ».
Le diéthystilbestrol, commercialisé sous le nom de Distilbène®, fut employé pour éviter les avortements spontanés, alors que le Vidal (dictionnaire des médicaments réservé aux médecins) indiquait déjà qu'il était « formellement contre-indiqué chez les femmes enceintes ». En effet, non seulement il engendrait des grossesses difficiles, mais il pouvait provoquer des cancers de l'utérus chez la mère et des malformations de l'appareil génital de l'enfant.
Dès 1953, un médecin américain avait prouvé l'inefficacité de cette thérapeutique et, en 1971, une étude américaine portant sur quatre mille femmes pendant cinq ans démontra tous les effets nocifs énumérés ci-dessus. La FDA (Food and Drug Administration), agence de sécurité sanitaire et alimentaire américaine, en interdit immédiatement l'usage, suivie au cours de l'année 1971 par les services de santé d'autres pays.